Toile "Wich side do you prefer" - NASTY x L'ATLAS
Toile "Wich side do you prefer" - NASTY x L'ATLAS
Toile "Wich side do you prefer" - NASTY x L'ATLAS
Toile "Wich side do you prefer" - NASTY x L'ATLAS
Toile "Wich side do you prefer" - NASTY x L'ATLAS
Toile "Wich side do you prefer" - NASTY x L'ATLAS
Toile "Wich side do you prefer" - NASTY x L'ATLAS
Toile "Wich side do you prefer" - NASTY x L'ATLAS

Toile "Wich side do you prefer" - NASTY x L'ATLAS

Oeuvre de NASTY et L'ATLAS à 4 mains.

Sur toile
Technique : Aérosol et acrylique.
Signée au dos 2022, encadrée en caisse américaine noire.

Format : 97 x 130 cm 

 

Sur un support toile, la peinture de Nasty à la bombe aérosol et au lettrage sauvage contraste avec le logotype millimétré monochrome de L'Atlas. Le mariage de ces 2 écritures fonctionne à merveille pour donner une oeuvre d'art contemporaine superbe.

NASTY

Né en1974 / PARIS

NASTY commence le graffiti en 1988 à Paris. 
Début 1990, avec une poignée d’autres Graffiti-artists, il se distingue en peignant des fresques en couleur sur les trains.
0n retrouve son nom dans les tunnels de la Rapt, sur les quais de Seine, le long des voies ferrées et sur les rames du métro parisien.
Son activité souterraine a fait de lui une référence auprès des générations actuelles.
Parallèlement, il a participé à de nombreux projets publicitaires (1664, Mercedes, Bnp Paribas, Burn, Bic, Nestlé...) ou encore dans l'univers des "artoys": Kidrobot et Toy2R à Hong-Kong.
Dans ses expositions, Nasty met en scène les fameuses plaques en émail du métro parisien dont il s‘empare depuis une quinzaine d'années.
Grâce à ses supports originaux, son travail se distingue lors de ventes aux enchères consacrées à l’art urbain, notamment chez Artcurial et Drouot.
Son parcours depuis 1988 a été retracé dans un livre édité aux éditions Alternatives : «Nasty & Slice, Artistes en cavale». 
Ses oeuvres ont été exposées au Palais de Chaillot, à la galerie Chapon,à la galerie Magda Danysz et il a fait partie de la collection Gallizia exposée au Grand Palais en 2009. Depuis 2008, il est représenté par la galerie Bailly Contemporain à Paris. Plus récemment, Arte lui a consacré un documentaire de 26 minutes, dans l'Art & la Manière.

L'ATLAS
Né en 1978
Vit et travaille à: 
Paris, France 48° 51' 23.8104" N, 2° 21' 7.9992" E

L’Atlas commence le graffiti dans les années 90. Fasciné par le travail du trait et de l’écriture, il part étudier la calligraphie arabe traditionnelle au Maroc, en Égypte et en Syrie. Il s’intéresse tout particulièrement au koufi, écriture géométrique dont il transpose les codes dans l’alphabet latin, créant ainsi sa propre typographie.

L’Atlas expérimente plusieurs media tels que la photographie, la peinture ou la vidéo. Après avoir travaillé un moment dans le cinéma, où il apprend les techniques traditionnelles du montage et réalise quelques documentaires, il développe un univers pictural où toute lettre est considérée comme une forme, et toute forme comme une lettre. Peu à peu, la ville elle-même lui apparaît chargée de signes dont il collecte la trace presque abstraite avec un système d’empreinte.

Artiste méticuleux à la recherche d’une certaine pureté, tant dans la forme que dans l’usage parcimonieux des couleurs. La pensée orientale, selon laquelle la dualité est source de complémentarité, occupe une  place prépondérante dans sa vie et dans son art. C’est de là qu’il puise l’essentiel de sa démarche artistique. On observe en effet une dichotomie récurrente entre le blanc et le noir dans la majeure partie de ses compositions. Souvent comparé au mouvement contestataire italien de la fin des années 60, l’Arte Povera. il renonce, la plupart du temps, à un équipement lourd qui pourrait le rendre tributaire de l’économie et des institutions culturelles. Il accorde une grande importance au processus, et plus précisément au geste créateur

Son travail sur le logo et la calligraphie le mène vers d’autres formes d’intervention dans la rue. Il devient, avec Zevs une figure du courant post-graffiti et conçoit une série d’interventions urbaines comme le tracé de boussoles urbaines dont une face au centre Georges Pompidou, réalisée parfois au gaffeur, un de ses outils de prédilection. Une autre de ses techniques consiste à prendre des empreintes des plaques d’égout par contact. L’œuvre de L’Atlas se veut réconciliatrice, entre la ville et l’homme, l’extérieur et l’intérieur. Avec le temps, sa pratique artistique évolue, parallèlement à sa présence dans la rue, vers la conception d’œuvres qui résistent au temps, et qui viennent naturellement s’inscrire, de même que les affiches ou les boussoles au scotch s’inscrivent dans la ville, dans des lieux d’exposition adaptés, sans perdre pour autant l’esprit contestataire et subversif qui les caractérise.

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